Lorsque Juliette Smeralda-Hamon, anthropologue martiniquaise, d'origine indienne, et spécialiste des questions indiennes, et qui a épousé un allemand nous interpelle et nous dit : "Nous sommes tous responsables du racisme ordinaire des nôtres, tant que nous l’avons pas combattu ", elle propose un message fort que nous devrons relayer.
De même qu’Il nous faut trouver les voies d’un dialogue social, saisissons aussi l’opportunité de mettre à plat ces éléments raciaux qui empoisonnent une société martiniquaise qui peine à entrer dans le XXI° siècle, non pas en niant l’histoire et les différences qui existent, mais en les dépassant dialectiquement.
Cela ne se fera pas en instant, mais il faut bien commencer un jour.
Cela ne se fera pas en instant, mais il faut bien commencer un jour.
Ne désespérons pas.
L’histoire nous apprend que dans l’Amérique des années 60, en pleine période de ségrégation raciale une jeune blanche du fond de l’Amérique étudiante en anthropologie s’est éprise d’un des premiers noirs Kéynian étudiant brillant dans une université des USA. Elle a bravé bien des tabous, et s’est mariée avec lui. Ce mariage n’a pas tenu, mais il a produit un fils, qui après avoir suivi sa mère en Indonésie, est allé habiter avec ses grands parents blancs à Hawaï. Ce fils s’appelle Barak Obama et aujourd’hui il est Président des Etats Unis d’Amérique.
L’histoire nous apprend que dans l’Amérique des années 60, en pleine période de ségrégation raciale une jeune blanche du fond de l’Amérique étudiante en anthropologie s’est éprise d’un des premiers noirs Kéynian étudiant brillant dans une université des USA. Elle a bravé bien des tabous, et s’est mariée avec lui. Ce mariage n’a pas tenu, mais il a produit un fils, qui après avoir suivi sa mère en Indonésie, est allé habiter avec ses grands parents blancs à Hawaï. Ce fils s’appelle Barak Obama et aujourd’hui il est Président des Etats Unis d’Amérique.
Bernard PETITJEAN ROGET
Economiste
16/02/20007
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